Éveiller un enfant à la foi, c’est l’accompagner dans sa découverte de Dieu, c’est l’aider à prendre conscience du trésor d’amour que Dieu a déposé dans son cœur; c’est l’inviter à Le rencontrer pour vivre de cet Amour qui comble le coeur. Éveiller un enfant à la foi, c’est l’initier à la vie chrétienne par la prière, la pratique des rites et sacrements et la célébration des fêtes liturgiques chrétiennes!
Laissez-nous vous expliquer en quoi consiste le baptême, et comment vous y préparer en tant que parent, parrain ou marraine.
Vous découvrirez ce que cela signifie d’appartenir à la famille spirituelle chrétienne catholique, où votre enfant et vous, pourrez cheminer et être accompagnés, chacun à votre rythme et selon vos besoins!
Même si la société moderne semble avoir rejeté d’un bloc tout ce qui concerne la religion comme institution sociale, chaque année, de nombreuses personnes, enfants comme adultes, font leur première communion, un sacrement aussi connu sous le nom d’eucharistie.
Non, le monde actuel n’a pas réussi à étouffer le désir mystérieux et puissant qui poussent plusieurs personnes à demander ce sacrement, bien au contraire : n’est-ce pas dans le désert (spirituel) qu’on souffre le plus de la soif (de sens)? Avez-vous soif?
Si oui, laissez-nous vous expliquer comment demander ce sacrement, pour vous-même ou vos enfants!
La formation catéchétique d’un chrétien (jeune ou moins jeune) ne s’arrête pas après le baptême, le premier pardon et la première communion. Des milliers de personnes achèvent chaque année leur parcours d’initiation chrétienne en se préparant au sacrement de confirmation.
Être confirmé par son évêque, c’est recevoir une force et une lumière divines qui permettent de témoigner avec force et sagesse de sa foi chrétienne au quotidien!
Jésus vous invite à une vie heureuse, débordante de joie! Votre jeunesse est une période de découverte(s) et d’affirmation de soi pendant laquelle vous vivrez de grands changements et relèverez de nombreux défis. C’est une aussi une période débordante de diverses possibilités.
Osez ouvrir votre cœur à Jésus et découvrez la joie inouïe de Le connaître et la paix de l'âme offerte à celui ou celle qui lui confie dans la foi toute sa vie!
Quelle est ma vocation?
Suite au baptême et à la confirmation, il est important pour chacun de discerner personnellement et en Église l’appel qui lui vient de Dieu. Devenir prêtre diocésain? Choisir le diaconat permanent? Opter pour la vie consacrée? Se marier?
Dans chaque section, vous trouverez des liens d’intérêts, des vidéos et diverses suggestions pour vous aider à discerner votre vocation.
Le mariage catholique est une union à… trois! Eh oui, à leur mariage, les époux ne sont pas les seuls à prendre un engagement d’amour pour toute la vie : Dieu – l’Être-Amour parfait! – s’engage Lui aussi à être réellement présent dans leur quotidien, et ce afin qu’ils puissent puiser constamment à son Amour et s’aimer librement, totalement, fidèlement, sans limite, selon les aspirations profondes de leur coeur.
Notre famille est la première école d'amour, d'accueil et de joie. C'est aussi, selon l’expérience de chacun(e), un lieu de douleur et de souffrance; pour cette raison, nous nous y apprenons le pardon, reçu et donné. Sur le plan spirituel, notre famille est aussi le premier milieu nourricier où nous découvrons et expérimentons l'amour de Dieu; c’est pour cela que la Tradition l’appelle la « première église ».
Pour toutes ces raisons, l'archidiocèse de Montréal désire soutenir humainement et spirituellement - autant que faire se peut - chaque famille qui se tourne vers elle.
Des femmes et des hommes choisissent le célibat comme état de vie. Le célibat est un don de soi, basé sur un amour égal pour tous, qui favorise un engagement total dans la société ou dans l’Église.
Dans cette rubrique, vous saisirez diverses façons de vivre le célibat dans la vie personnelle, professionnelle et dans divers engagements au sein de la communauté.
C’est quoi, être aîné? Y a-t-il une façon chrétienne d’être un aîné? Voilà de bonnes questions.
Dans cette section, nous vous présenterons quelques pistes de réflexion pour vous aider à devenir un aîné(e) pleinement épanoui. À leur lecture, vous comprendrez qu’être aîné(e), ce n’est surtout pas subir le poids des années de façon passive, en attendant la mort avec résignation. Au contraire, les aînés sont appelés à jouer dans la société et l’Église un rôle unique et irremplaçable.
À vous de le découvrir et surtout, de le vivre!
Quand la maladie survient, notre premier réflexe est bien souvent de nous demander : pourquoi moi? Qu’ai-je fait au Bon Dieu pour mériter cela? Si Dieu est véritablement bon, comment peut-il permettre cela?
Devant le drame de la souffrance, il n’est pas rare de tomber dans le vide du non-sens, de se sentir coupable, de vivre de la colère, de la révolte.
Quoi faire alors? Vers qui nous tourner?
Dans la société actuelle, la fin de vie apparaît à plusieurs comme une période de souffrance - plus ou moins longue - qu’il faut abréger le plus possible, sans attendre la mort naturelle. Pourquoi souffrir, si la souffrance morale et physique n’a aucune utilité, aucun sens?
Pour les chrétiens, au contraire, la fin de la vie – y compris ses souffrances - est vue comme un temps privilégié où Dieu veut nous combler de son Amour!
Le départ d’un être cher suscite en nous de nombreuses émotions, mais aussi de nombreuses questions, et ce dans un très court laps de temps. Quoi faire, et dans quel ordre? Pour vous simplifier la tâche, voici ce que nous vous proposons.