Mettre fin à la traite des êtres humains - Un engagement pour tous
Montréal
Il s'agit d'une série de 10 programmes radio reliant le Canada depuis Toronto à des stations de radio latino-américaines pour parler de la traite des êtres humains, un crime qui touche des personnes dans le monde entier et qui constitue un problème grave en Amérique latine.
https://chha1610am.ca/show/enfoque-2/
En tant que diocèse de Montréal, représenté par Alessandra Santopadre, adjointe à l'Office des communautés culturelles et rituelles et Responsable du programme de parrainage pour les réfugiés et demandeurs d'asile à l'archevêché de Montréal, nous sommes engagés à participer à chaque émission de radio en espagnol :
NO HAY TRATO CON LA TRATA COMPROMISO DE TOD@S
Le projet No Deal With Trafficking représente un engagement ferme et continu pour prévenir et aider à mettre fin à la traite des êtres humains. La traite des êtres humains se développe et profite de l'ignorance, la connaissance de ce crime est la meilleure façon d'éviter d'en être victime. La diffusion dans les pays d'origine des migrants et des réfugiés est essentielle en tant que stratégie de prévention, car c'est de là que partent les premières actions criminelles. La diversité des formats et la collaboration stratégique avec diverses plateformes de diffusion contribueront à générer un impact significatif sur la prise de conscience collective et la prévention.
Pour aller plus loin :
C’est pour que nous soyons libres que le Christ nous a libérés : Lettre pastorale sur la traite des personnes et l’exploitation sexuelle au Canada.
- https://www.cecc.ca/annonce/2021-lettre-pastorale-sur-la-traite-des-personnes-et-lexploitation-sexuelle-au-canada/
- https://www.cecc.ca/wp-content/uploads/2021/11/CECC-Traite-des-personnes-lettre-pastorale-2021-1.pdf
Le 22 novembre 2021, la Commission épiscopale pour la justice et la paix de la CECC a publié une lettre pastorale intitulée : C’est pour que nous soyons libres que le Christ nous a libérés : Lettre pastorale sur la traite des personnes et l’exploitation sexuelle au Canada. La lettre traite de la nature intrinsèquement exploitante et abusive de l’achat de services sexuels et insiste sur le fait que, pour protéger les personnes vulnérables, cette pratique doit continuer à être criminalisée : « Traiter le sexe comme un travail, c’est ʽcamoufler la violence physique, psychologique et sexuelle infligée à la personne prostituéeʼ. La prostitution consiste à vendre quelque chose qu’on ne peut, en soi, vendre ou acheter : elle n’est ni plus ni moins que de l’exploitation. »
Orientations pastorales sur la traite des personnes :
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