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Des témoins racontent leurs guérisons

Texte

Des milliers de personnes vont converger sur Rome pour la canonisation du frère André, le 17 octobre prochain.

Plusieurs entre eux ont été guérit ou ont eu des membres de leurs familles guérit grâce à l'intercession du nouveau saint.

Voici quatre témoignages de ce genre, compilé par Rolande Parrot

Des bienfaits de frère André

Mes parents portugais m'ont transmis la valeur de la prière à Saint-Joseph. Au Portugal, le19 mars est non seulement la fête de Saint-Joseph, mais aussi la fête des pères. Installée à Montréal, la famille a connu le Frère André et l'Oratoire Saint-Joseph. Lorsque j'ai eu un problème de santé, je me suis recueillie sur le tombeau du frère André et fait le chemin de la croix. J'en suis revenue apaisée. Quelques mois plus tard, j'étais guérie. De même, mon père a failli paralyser. Nous sommes allés prier Saint-Joseph, par l'intermédiaire de frère André. Il a promis de faire un don à l'Oratoire s'il pouvait continuer de marcher. Mon père et moi-même sommes devenus des Grands associés de l'Oratoire. J'irai à Rome pour la canonisation afin de remercier le frère André pour ses bienfaits au nom de ma famille. — Lucie Medeiros

Des guérisons dans ma famille

Dans ma famille, le frère André a fait deux guérisons. En 1936, une de mes sœurs qui avait 16 ans ne pouvait marcher et le médecin ne trouvait pas la cause. Mon oncle qui travaillait pour l'Oratoire Saint-Joseph a amené la jeune fille au frère André. Il lui dit de commencer une prière, puis de décroiser les jambes… En sortant, elle était guérie. À Saint-Hyacinthe, une tante, mère de 9 enfants, voyait son mari très malade et craignait pour sa vie. Il était passé minuit quand elle appela le frère André… le lendemain son mari était guéri. C'est la foi qui fait en sorte qu'on obtient des guérisons. Aussi, je vais très souvent à l'Oratoire prier pour les membres de ma famille. J'irai à Rome remercier le frère André lors de sa canonisation pour tout le bien qu'il a fait et qu'il fait encore de nos jours. — Noëlla-Marie Bolduc

Un homme de prière

Je travaille à l'Oratoire Saint-Joseph en accueillant des touristes pèlerins au Pavillon Jean XXIII. Je n'ai pas bénéficié personnellement des faveurs de frère André ni été témoin de guérisons. Mais ce qui me frappe, c'est que Dieu a passé par ce frère pour réaliser des prodiges par son intercession et celle de saint Joseph. Pour moi, le frère André a consacré sa vie à la prière; c'est pourquoi il était proche de Dieu. Je vais assister à sa canonisation à Rome pour rendre grâces à Dieu. — Marcel André

Un parent de frère André

Je fais partie de la généalogie de frère André et mon épouse également, mais d'une autre lignée. Mes parents sont allés à ses funérailles. Ma mère a eu la chance de le voir un jour. Elle était atteinte de tuberculose, alitée dans un sanatorium, et il n'y avait pas d'espoir de guérison. Quelque temps après avoir vu le frère André, elle a été guérie. Elle est décédée à l'âge de 94 ans. Je trouve que je suis endetté envers le frère André. Mon épouse, ma fille infirmière et moi-même, nous allons à Rome pour la canonisation de frère André pour le remercier de tous ses bienfaits par l'intermédiaire de saint Joseph. — Jean-Bruno Bessette Normandin